Une histoire remontant à 1976 … Tout commence en 1976 avec l’ouverture par ma mère, de la boutique Frimousse, rue de Penhoët, en plein cœur du quartier historique de Rennes. Cette boutique se veut prescriptrice des tendances de la mode enfantine, avec les plus belles Maisons de l’époque (Nanouchka, Yann France, Baby Dior, Bonpoint, etc). Très vite, Frimousse devient une référence à Rennes puis en Bretagne pour habiller les bébés et les enfants.
Une histoire de famille … Evoluant depuis toute petite au sein de l’univers Frimousse, j’ai logiquement décidé de participer à son développement dès la fin de mes études, au début des années 2000. Frimousse devient ainsi un concept store dès 2005 avec l’intégration de la mode femme, des accessoires et des bijoux, tout en conservant le prêt-à-porter enfant haut de gamme si cher à la Maison depuis sa création.
La naissance de Frimousse Le Drugstore … Très vite j’ai souhaité réunir à Rennes, au sein d’un concept innovant et inédit, le meilleur de la mode femme et enfant, des bijoux, accessoires et des objets, selon une sélection pointue et avant-gardiste. En 2013, Frimousse devient Frimousse Le Drugstore, en référence au célèbre Drugstore des Champs Elysées, et emménage à quelques pas de la boutique historique, sur plus de 200m2. Une ambiance de maison familiale règne au Drugstore, lui conférant une atmosphère si unique et conviviale qu’on en oublie cet univers de luxe et d’exigence qui fait la différence.
Du Concept store au Cool Luxury store … L’éclectisme de la sélection, le mélange audacieux des silhouettes, des styles et des créateurs, raviront les jeunes et les moins jeunes, tout autant que les fashionistas averties : On trouve tout au Drugstore, et tous peuvent se retrouver au Drugstore.
Frimousse Le Drugstore est plus qu’un simple concept store, et je le positionne désormais comme le Cool Luxury store dédié à l’univers femme et enfant.
Vous l’aurez compris, ma boutique est donc à l’image de sa sélection, un concept en mutation permanente, pour mon plus grand plaisir, et je l’espère, pour le vôtre.
Elise Gibert